Le développement des legal startups, la digitalisation et la justice prédictive bouleversent profondément la profession d’avocat en affectant significativement les méthodes de travail ainsi que la communication entre l’avocat et son client.

Après avoir accusé les legal startups de pratiquer une concurrence déloyale, la profession a pris le parti de réinvestir, ce qui, outre son expertise, lui confère son caractère unique : la relation-client. Le CNB ainsi que nombreux avocats ont développé des applications rendant la prestation de service de l’avocat plus accessible au public, mais surtout lui apportant le gage de l’expertise de professionnels qualifiés obéissant à une déontologie stricte.

Ce mouvement est à saluer même s’il demeure insuffisant. En effet, les outils dont disposent les avocats restent la traduction digitale de ce qu’ils ont toujours pratiqué. Les solutions informatiques qui leur sont proposées ont toutes le même postulat : l’avocat, auquel un dossier a été confié, travaille seul dans son coin et ne communique avec son client que pour justifier l’emploi de son temps sur ce dossier. C’est ainsi que les fonctionnalités des outils sont axées sur la gestion des dossiers et du cabinet de l’avocat (agenda, liste de contacts, liste de tâches, chronomètre, porte-documents, messagerie…). Ce n’est que récemment que certains logiciels permettent l’accès du porte-documents au client de l’avocat via internet. Or, cette fonctionnalité n’est que la traduction digitale de ce que les avocats font depuis toujours, à savoir remettre à chaque client en début d’affaire une chemise cartonnée — si possible avec le nom, le logo et les coordonnées du cabinet — dans laquelle ils recommandent à leur client de consigner toutes les correspondances, factures et autres documents qu’ils lui communiqueront pendant toute la durée de l’affaire.

La relation-client est-elle une relation de justification ? Le client souhaite-t-il attendre dans l’angoisse l’envoi d’un courriel l’informant des dernières diligences de son avocat ou d’une facture l’invitant à payer une prestation qu’il ne comprendra pas forcément ? Son intérêt est-il de collecter les documents communiqués par son Conseil afin contrôler que ce dernier travaille effectivement sur son dossier ?

gaitlegal crée une solution digitale qui rompt avec ce postulat. L’avocat, du fait de son expertise et de son empathie, enchante son client (c’est un Maître Enchanteur !!!). gaitlegal l’assiste en ce sens.

À quoi reconnaît-on un client enchanté ? Dès le début de son affaire, il s’est accordé avec son avocat sur la nature et de l’étendue de l’intervention de ce dernier. Il est promptement avisé de l’avancée de son affaire et en raison de l’accord précité, il est en mesure de contextualiser cette évolution par rapport déroulement global et anticipé de son dossier. Il reconnaît que la prestation de services de son avocat est de grande qualité. Enfin, il paie promptement les honoraires de son Conseil, ne tarit pas d’éloges sur ce dernier et a recours à ses services dès qu’il rencontre une difficulté.

Tout avocat devrait enchanter son client. gaitlegal le permet.

gaitlegal est une solution digitale unique à destination des avocats. Abritée dans le Cloud, gaitlegal offre à tout avocat une interface sécurisée permettant à son client de comprendre les enjeux et les étapes de son dossier, de communiquer, de suivre en temps réel l’état d’avancement de son dossier et de procéder au paiement des honoraires.

gaitlegal est disponible sur tous types de supports électroniques (smartphone, tablettes, PC, Mac).

gaitlegal : D’une logique de justification à une logique d’enchantement !